Vous avez presque terminé votre article ou votre livre. Vous devriez être content. Au lieu de cela, vous avez l’impression d’avoir écrit des insignifiances.
C’est quand même étrange. À d’autres moments, vous avez senti que vous aviez écrit quelque chose d’intéressant et de valable.
Maintenant, vous avez cependant envie de lire plusieurs autres articles, ajouter d’autre contenu, réviser à nouveau, ou vérifier vos courriels. Bref, n’importe quoi sauf terminer et publier votre œuvre.
Peu importe que ce soit un article pour votre blogue, ou votre nouveau projet de livre. On se sent toujours un peu anxieux à l’idée de laisser aller notre contenu et de le publier à la vue de tous.
Cette peur de publier son travail est très commune. Dans certains cas, elle peut nuire à votre croissance.
Voici quelques commentaires que j’ai déjà entendus à ce sujet et je vous offre une autre façon de penser. Si vous avez déjà prononcé ou même pensé l’une ou l’autre de ces affirmations, je vous invite à essayer l’autre mode de penser, pour voir.
Qui suis-je pour faire de telles déclarations?
- Si ce n’est pas vous, qui d’autre le fera? Qu’est-ce qui fait d’une autre personne une autorité sur le sujet, et pas vous? Où et quand les autorités actuelles ont-elles obtenu l’expertise et le droit de faire leurs déclarations?
Je suis intimidée par le fait que d’autres ont déjà écrit sur le sujet depuis plus longtemps que moi.
- Un nouveau point de vue est toujours bienvenu.
Je sais que ce n’est pas parfaitement écrit. J’ai peur de passer pour un charlatan.
- Ça n’a pas besoin d’être parfait. Il suffit simplement que ce soit bien fait. Faites réviser votre texte par une ressource professionnelle pour vous assurer qu’il soit lisible et sans faute.
- Vous n’avez pas à être parfait. Si vous êtes rendu où vous êtes, dites-vous que vous avec déjà de l’avance sur plusieurs personnes.
Il y a tellement à écrire sur le sujet.
- Vous pourriez utiliser cette excuse pour ne jamais terminer votre projet.
- Vous pourriez continuer d’en parler, dans un autre article, un autre livre. Terminez celui-ci. Vous en avez peut-être déjà assez dit pour le moment.
Le monde mérite d’entendre ce que vous avez à dire. Ne le privez pas de vos idées. Libérez-les de votre tête et publiez-les!