Comme plusieurs, avant de passer à l’action, j’ai longtemps caressé le rêve d’écrire et de publier un livre.
Je pensais que pour être crédible comme auteure, je devais passer par l’édition traditionnelle.
Il y a une chose que j’ignorais de l’édition traditionnelle, c’est que les éditeurs reçoivent des milliers de manuscrits et que seulement quelques dizaines sont acceptés. Pour ces quelques projets, ça prend des mois, parfois même jusqu’à deux ans pour avoir une réponse, même si elle est négative.
Si tu es chanceuse et que cette réponse est positive, ton livre ne sera probablement pas publié avant l’année suivante.
Ouf! Je n’ai pas cette patience, moi.
Et ce n’est pas tout, tu dois céder les droits de ton manuscrit pour ne recevoir que 10 % sur les ventes de l’année suivant le lancement. Tu devras quand même consacrer beaucoup de temps à promouvoir ton livre après son lancement parce que, s’il ne s’en vend pas assez, il sera retiré des tablettes et pilonné après deux ou trois ans.
Oh, il y a des bénéfices à l’édition traditionnelle, comme le fait que tu n’as rien à débourser au départ et qu’on s’occupera de distribuer ton livre et d’en faire un peu de promotion, au début.
Les aspects négatifs surpassent cependant les aspects positifs pour moi.
C’est différent avec l’autoédition. Tu n’as pas besoin d’être une célébrité pour t’autopublier et pour que ton livre soit un succès.
Tu conserves les droits à 100 % sur ton livre et tu peux l’écrire et le publier en six mois, si tu veux.
En autopublication, tu es payée à chaque livre vendu. Tu n’as pas besoin d’attendre un an. La plupart des plateformes versent les redevances sur ton compte le deuxième mois après la vente.
En plus, tu conserves un pourcentage beaucoup plus élevé sur les ventes que si tu choisis l’édition traditionnelle.
On croit à tort qu’un livre autopublié n’est pas un livre de qualité. C’est faux.
Ça fait longtemps que l’autoédition existe, bien avant la venue de Kindle en 2007.
En effet, des auteurs renommés sont autoédités, des romanciers et des experts.
Wayne Dyer a fait imprimer 4 500 copies de son premier livre « Vos zones erronées » et a parcouru les États-Unis pour le promouvoir. Il ignorait alors que son livre deviendrait un des meilleurs vendeurs avec plus de 100 millions de copies vendues.
Robert Kiyosaki a décidé d’autopublier son livre « Père riche, père pauvre » en 1997 après que de nombreux éditeurs, agents littéraires et distributeurs lui aient conseillé de renoncer. Aujourd’hui, plus de 40 millions d’exemplaires en 50 langues ont été vendus dans 109 pays. Sans compter qu’il a été sur la liste des bestsellers du New York Times pendant plus de 6 ans.
Avec eux, des écrivains comme Stephen King, Margaret Atwood, Mark Twain et EL James (celle qui a écrit les 50 nuances de Grey) ont autopublié au moins un de leurs livres.
Tu vois, les auteurs autopubliés sont légitimes.
Maintenant, j’ai une question pour toi : veux-tu être une auteure à succès qui a le contrôle sur son écriture et sur le processus d’édition?
Si ta réponse est « oui », alors l’autoédition est pour toi.
(source 10 Famous Authors Who Self Published)
PS : j’enseigne comment écrire et autopublier un livre de qualité dans mon programme D’experte à auteure.
PPS : si ton livre est déjà écrit et révisé, je peux t’assister dans l’autoédition. C’est une de mes expertises. Réserves un rendez-vous pour en discuter.